Kisangani: L’Asbl Né pour Réussir s’en va en guerre contre le discours sexiste, d’intimidation et d’intolérance.

Laurent Kangisa Par Laurent Kangisa 147 Views

 

La coordination nationale de l’Asbl Né pour réussir, une structure qui soutient les actions de la première ministre Judith Suminwa est contre les discours sexistes.
Par le billet de son coordinateur national Moustapha Gendanu Terembi, l’Asbl Né pour réussir dénonce avec force les attaques dont est victime leur leader, la première ministre Judith Suminwa. Première femme de l’histoire politique de la RDC à occuper le poste de premier ministre et chef du gouvernement. Une femme qui incarne l’espoir et le progrès pour les femmes Congolaise.
Cette dernière a fait l’objet des attaques dans un media de Kinshasa au courant du mois d’octobre 2024 dernier.
« Ces attaques ne visent pas seulement une personne mais touchent aussi les valeurs d’égalité, de respect et de justice chères au président de la République.
L’objectif visé par les auteurs de ces attaques, c’est de diminuer la valeur des femmes leaders et leur droit de contribuer pleinement au progrès de notre société », fait savoir le coordonnateur Moustapha Gendanu Terembi.
Et de poursuivre,
 » Nous disons oui au respect et à l’égalité homme-femme pour une gouvernance inclusive en RDC, comme l’a toujours prôné le chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi, champion de la masculinité positive ».


L’Asbl Né pour réussir dit non à la discrimination et à l’intolérance sous toutes ses formes.
En revanche, cette ASBL est favorable à une gouvernance inclusive et exemplaire.
Le président de cette organisation, Moustapha Gendanu Terembi, exhorte le peuple Congolais à soutenir une société qui valorise l’engagement et la compétence de chacun, indépendamment de son genre.
Ceci par le fait que, le respect des femmes est le respect de la dignité humaine toute entière, a précisé le président de l’Asbl Né pour Réussir.
En avant pour une nation qui honore et défend ses leaders dans la diversité et l’égalité, a conclu Moustapha Gendanu.
Laurent Kangisa.